26 juillet 2011
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18:16
Chers lecteurs,
Nous avions eu l'honneur d'être publiées dans la Newsletter de "Projects Abroad Argentina" après notre mission humanitaire.
Quelques temps après la fin de notre mission éco-volontaire dans la jungle, la chaîne Youtube a été publiée sur le Facebook de "Projects Abroad France". Et maintenant, nous voilà sur le site internet de "Projects Abroad France", vidéo en démo. Ca fait plaisir !
Nous vous invitons à cliquez ici pour voir la publication sur le site ! Ou à la découvrir ci-dessous en image.
Enjoy :-)
Carine & Virginie
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Notre mission éco-volontaire
24 juin 2011
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23:05
Un mois dans la jungle, notre mission éco-volontaire touche à sa fin ! Posons-nous une minute.
| Nous sommes passées par le même intermédiaire que pour notre mission humanitaire en Argentine pour réaliser notre mission éco-volontaire au Pérou: Projects Abroad. |
La Réserve Taricaya mène de front divers projets, plus ou moins appuyée par le gouvernement péruvien: étude de la biodiversité, l'Animal Rescue Center, la Pilot Farm, la repopulation des tortues, la maison des papillons, la maintenance... De quoi occuper tout le staff et les nombreux volontaires, une trentaine environ. Pour plus d'informations sur les projets menés par la Réserve: cliquez ici. | |
| Quand on vit un mois dans la jungle, on peut trouver les conditions de vie difficiles ou rencontrer des problèmes de santé. Il y a beaucoup d'insectes, on boit l'eau de la rivière (il faut faire une prise de sang en rentrant pour vérifier qu'aucun intrus n'est entré dedans), on se lave avec, il n'y a pas ou peu d'électricité, etc. Pour nous, ça a été. On s'est habitué de suite à l'environnement et nous ne sommes pas tombées malades. Tant mieux. Un mois comme ça, c'est bien. Plus, cela doit commencer à paraître long. |
Dans la Réserve, on vit en communauté. L'intimité est une notion un peu disparue. Pour des filles qui arrivaient de la haute altitude, ça fait bizarre ! La grande majorité des volontaires est très jeune. Mais on a trouvé notre place. | |
| On travaille en groupe avec des personnalités et des cultures très diverses. Mieux vaut savoir s'adapter. Certaines personnes sont très investies, d'autres moins ou crisent à la vue du moindre insecte. Dans l'ensemble, nous sommes bien tombées et travaillions avec des personnes sympas. Carine allait toujours chercher (ou lever) les absents s'ils bossaient dans son groupe. Donc pas de problème. :-) |
Les "sorties en ville" (Puerto Maldonado), on les évitait. Il y a toutes les semaines un ou deux bateaux qui y vont, pour la journée ou pour le WE. C'est sympa de pouvoir prendre une douche claire c'est sûr, mais la Réserve Taricaya est tellement agréable quand elle est moins peuplée qu'on préférait rester. On y sortait une journée toutes les deux semaines pour acheter des fruits mûrs ;-) A Puerto Maldonado, il n'y a franchement pas grand chose à faire: manger, boire, marcher, laver son linge, téléphoner ou trouver un internet over lent, un peu de moto... Cela reste une ville dans la jungle. | |
| Enfin, tourner des vidéos dans ces conditions relevait du challenge ! L'humidité a eu raison du camescope à plusieurs reprises. Bien sûr, les animaux gèrent la réalisation, ce qui promet quelques rires partagés. Il faut assurer les montages quand il y a de l'électricité. Et il n'y a pas d'internet pour partager les vidéos en ligne ;-) La patience est une vertu. De bons souvenirs :-) |
En résumé, c'était une joie de prendre conscience des conséquences de nos actions dans la Réserve, de participer à maintenir et développer une telle structure, de pouvoir approcher et soigner des animaux sauvages et magnifiques, de vivre comme Robinson... On pourrait vous raconter un tas d'anecdotes, mais ce serait très long ! Ce sera en off pour notre retour. C'est moins sympa de voir tout le travail qu'il y a à faire pour sauvegarder notre environnement ou changer les habitudes des tribus (déforestation, détention d'animaux sauvages, etc). On n'est pas sortis de l'auberge...
Nous sommes ravies de ce que nous avons appris en un mois.
Bonne route
Carine & Virginie
&
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Notre mission éco-volontaire
24 juin 2011
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21:22
Daniel, dit Gigo, participe à l'amélioration de la reproductivité des papillons à Taricaya.
| Pour nous, l'amitié avec les papillons naît dès le premier jour. Notre bungalow leur plait beaucoup ! Ici, même les papillons de nuit sont beaux. Il y a des papillons de toutes les couleurs et de toutes les tailles. |
Pour arriver à améliorer la reproductivité des papillons, Gigo en capture pas mal. Ainsi, nous avons construit des filets et des pièges à papillons. Voici par exemple Catherine, la représentante de Projects Abroad à Taricaya, en train d'installer un piège dans la jungle. Gigo choisit ceux qu'il lâche dans sa volière pour qu'ils se reproduisent. Pour les autres, de toutes façons, il mesure, identifie l'espèce, etc. Ce sont des activités calmes et intéressantes. | |
| Une fois les petits oeufs éclos, les chenilles grandissent longtemps et vite ! C'est très amusant d'assister à leur mue. Voici une chenille qui semble avoir deux têtes... L'autre "carcasse" n'étant pas encore tombée. Les chenilles sont protégées dans des boîtes. On doit les laver chaque jour et changer leur nourriture (feuille de bananier qu'elles affectionnent particulièrement). Nous, on adore. |
Tiens, quand on vous dit qu'elles deviennent grandes, en voilà une vraiment énooooorme. Aurait-elle abusé des feuilles de bananier ? | |
| Toutes ces demoiselles (bon, et ces messieurs) se cristallisent en cocon, longtemps, longtemps... Là, rien à faire... Attendre qu'elles éclosent en superbes papillons ! Sous forme de papillons, l'animal vit entre 1 jour et 6 mois selon l'espèce. Beaucoup plus court que leur vie de chenille ou de cocon. |
Gigo conserve les papillons lorsqu'ils meurent. Cela lui donne aujourd'hui une jolie collection. Les ailes sont étonnement bien conservées, alors qu'elles sont constituées de minuscules écailles. A Iguazú, nous vous avions présenté ce joli papillon. Maintenant, on sait qu'il s'appelle un 88 (et non pas un Beatle Juice pour Carine). C'est beau non ? | |
Bon vent !
Carine & Virginie
Minute, papillon !
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Notre mission éco-volontaire
24 juin 2011
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Nous avons eu la chance de participer à l'étude annuelle des chauve-souris ! Les procédés et les manipulations rappellent ceux pour les études sur les oiseaux. Mais... La nuit !
| Nous assistons alors Hugo, chercheur pour l'Université d'Aréquipa, Pérou. Nous avons préparé de grands filets pour pouvoir attraper les chauve-souris la nuit. Les mailles sont toutes douces et fixées à des bambous géants. On les a disposés dans la jungle, à des endroits et des hauteurs très variés. |
| A la tombée de la nuit, on ouvre les filets ! Brrrr. Toutes les 30 minutes, on va vérifier si nous avons attrapé une mignonnette. Si oui, on la place dans un sac tout doux en attendant les manipulations. | |
Hop: pesée, mesures, graisse, ossification, reproductivité, espèce, coupe de poils, etc. La totale, en essayant de calmer ce petit animal fragile. Comme pour les oiseaux, un rapport annuel est établi. Hugo a eu la chance de découvrir de nouvelles espèces à Taricaya, alors, il est à fonds ! Passionnant. Merci Hugo. Un soir, une petite s'est même introduite dans notre comedor (salle à manger). Comique ! Plus de visuels sur la vidéo. | |
Bonne nuit...
Carine & Virginie
Ah ah ah ah ah ah ah ah ah Gnarf gnarf gnarf gnarf
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Notre mission éco-volontaire
21 juin 2011
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15:06
Nous avons eu la chance de participer a l'étude annuelle sur les oiseaux peuplant Taricaya.
| Nous assistons alors Maria, chercheuse pour l'Université d'Aréquipa au Pérou. Nous avons installé des filets pour attraper des oiseaux. Au bord de la rivière, dans les sentiers, dans la jungle... |
Toutes les 30 minutes, on va voir les filets. Si un oiseau est attrapé, on le place dans un sac tout doux, en attendant les manipulations. | |
| Trop chou. Les oiseaux réagissent bien sûr différemment à la capture. Certains stressent, d'autres sont calmes... Il faut prendre grand soin d'eux jusqu'à leur libération. Savoir les calmer est un art. |
| Les manipulations commencent: pesée, mesures, vérification de la graisse, des plumes, reproductivité, etc. On saura tout ! On note toutes ces informations sur des fiches dédiées. Et à la fin de l'année, on établi un rapport pour le Pérou, région par région. Passionnant. Merci Maria. | |
Bon vent !
Carine & Virginie
&
Etudions en musique
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Notre mission éco-volontaire
18 juin 2011
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18:39
Après avoir tenté de vous présenter quelque peu notre environnement, voici une des activités que l'on préfère: nourrir les animaux ! C'est le moyen idéal de les connaître et d'avoir un contact privilégié avec eux. On ne va pas tous vous les présenter, mais on fera de notre mieux pour vous donner une idée.
| D'abord, il faut tout préparer. Voici Michelle à l'oeuvre. Il y a une fiche par animal, avec la quantité de nourriture, fruits, légumes, graines, oeufs, viandes, pour le matin et pour l'après-midi. On pèse, on coupe, on dispose. Un 5 étoiles ! Chaque animal a son bol. |
C'est prêt ! Portons cette brouette à l'Animal Rescue Center ! | |
Il y a un tas de drôles d'oiseaux à régaler. Les toucans, les perroquets, les perruches... Tout ce petit monde s'exprime fortement ! Des fruits, quelques légumes et du maïs, vous ferez des heureux.
Chiki, ce petit singe tellement adorable, est fan de papaye. Attention, il adore vous chercher des poux et faire de gros câlins. Difficile de le laisser là. Il a un regard si expressif qu'il en est troublant.
Muqui, un night monkey particulièrement joueur. Il est craquant et un peu fou, il nous fait penser au chef dans Madagascar... Toujours un plaisir de le visiter. Il faut le voir trier ses bananes.
| Les chats sauvages portent bien leur nom. Un peu de viande et ils arrêtent de vous cracher dessus... ou pas. | |
| Kali, le bébé que nous vous avons déjà présenté, est adorable. Elle a la "chance" de participer à la préparation des repas, haute perchée. Puis elle va faire des singeries dans sa cage. Ou des câlins tous doux. Ou encore jouer à la guitare. On craque sur sa petite tête, son comportement, ses expressions et ses petits cris. |
Les Jaguar sont sublimes et impressionnants. On les prendrait bien dans les bras, mais ça, c'est dans les rêves ! On adore entendre leurs rugissements depuis les bungalows la nuit. Une bonne dose de viande pour ces dames.
| Les capucins sont des singes relativement agressifs. On doit faire attention en pénétrant dans certaines cages: capucins, squirrel (ils peuvent vous faire des percing), spider en voie d'être relâchés, tous les fauves... |
| Le tapir est un drôle d'animal. Nous nous occupons d'un couple. Il ont le cuir dur comme de la pierre, un nez proéminent, des petites oreilles cerclées de blanc, et sont très curieux. De vrais goinfres, des kilos d'herbes, de bananes, de mélanges de céréales... | |
| Il y a plusieurs cages de spider monkeys. Certains sont en voie d'être relâchés. On doit les observer à tour de rôle et noter leur comportement, pour confirmer. Les plus petits devront encore progresser, quand on voit les câlins qu'ils nous font, il y a du boulot avant un retour à la vie sauvage. Ils sont adorables même si vous avez parfois droit à une grosse baffe et à des tirages de cheveux. Leur regard et leur attitude nous rappellent étrangement l'humain. | |
Voilà un petit extrait d'une partie de notre travail. Le problème, c'est que maintenant, on est capable d'imiter les sons que produit tout ce petit monde, et on aime ça. On préfère prévenir, si jamais quelqu'un nous voit... C'est normal.
Des câlins
Carine & Virginie
A la découverte des animaux trop miiiiiiiiiignons !
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Notre mission éco-volontaire
18 juin 2011
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Après deux mois passés en haute altitude, nous avons radicalement changé d'environnement en arrivant dans la jungle péruvienne ! Nous voici dans la Réserve Taricaya, par l'intermédiaire de Projects Abroad Perú.
Nous allons aider le staff déjà sur place. Nourrir les animaux en soins, repérer les espèces d'oiseaux ou de chauve-souris pour des études annuelles, collecter des papillons pour développer leur reproduction, construire des nouvelles cages, dégager les sentiers à la machette, entretenir le projet de ferme écologique et aider une tribu à entretenir la sienne,... Bref, la banque et le marketing sont très très loins !
| Voici notre bungalow. C'est notre nouvelle maison ! Nous y posons nos sacs pour un mois. Chaque bungalow peut héberger 4 personnes. Nous partageons notre quotidien avec Michelle, une canadienne. |
| Et avec beaucoup d'animaux ! A l'intérieur, la chasse est ouverte :-) Mais finalement, nous nous sommes très vite habituées, et même attachées (si, si) à nos nouveaux compagnons. A gauche, nous vous présentons Hermione, qui prend sa douche avec nous. | |
| Araignées de différentes sortes et formats, sauterelles géantes, cafards géants, fourmis à l'humeur très piquante, moustiques assoiffés... Vous comprendrez que nous avons tous dans la Réserve une moustiquaire. La classe, non ? |
Notre nouvel outil principal, pour les déplacements dans la jungle ou pour le travail: la machette ! Avouons que cela nous change du métro et de l'iphone ! | |
| ici, on se met en quatre et en cage pour venir en aide à l'environnement et aux animaux. En bonne compagnie, la cage est agréable... Vous voyez là la cage de Kali, un adorable bébé singe qui attendrirait un coeur de pierre. Pour lui apprendre à vivre seule (et donc en cage dans un premier temps), on se met dans la cage avec elle à tour de rôle pour la rassurer. Oh ça va, oui, nous avons l'air fines :-) |
Promenons-nous un peu. Pantalon, bottes de circonstance, machette, chapeau, de l'eau... Ok, on y va. Oups, notre eau est jaune. Eh oui, ici il n'y a que l'eau de la rivière à boire. Avis aux estomacs sensibles ! | |
| Dans la jungle, il y a des sentiers, plus ou moins. Et des marais. La première fois que l'on doit en traverser un, on croit que c'est une plaisanterie. "Il doit forcément y avoir un autre chemin". |
Mais non. Alors, quand il faut y aller, faut y aller. Mathias sort la machette et débrousaille. Oups, attention. | |
Bon, au final, ça devient carrément amusant (si, si). Les bottes ne servent plus à rien à part pour la boue des sentiers, si on ne les perd pas dans l'eau... Il y a beaucoup de marais. On en traverse un sans encombre. Puis un autre plus haut que les bottes. Puis un autre qui vous arrive à la taille... Puis un à la poitrine. Et puis... Parfois il faut nager. Au secours ! Ca fait bizarre tout de même, surtout quand on sait quels types de bestioles peuplent les marais. Adrénaline ? Quelqu'un est fan de serpents et de caïmans ?
| Chemin faisant, on peut sympathiser avec de chouettes grenouilles. A ne pas confondre avec les feuilles :-) |
Il y a aussi des ponts construits pour éviter les marais. Impressionnants. On se croirait dans Indiana Jones ! On est fan fan fan. | |
| Voici Antoine et Carine sur le plus grand pont: 45 mètres de haut et 90 mètres de long, pour atteindre une plate-forme haute perchée et admirer les oiseaux ! | |
| Il y dans la Réserve un coin avec des hamacs. Voici le genre de compagnie qu'on y trouve, entre autres. C'est pas miiiiiiignon ça ? |
Voici un des aras qui a grand plaisir à vous réveiller le matin. De vrais pirates ! On les adore. On a craqué aussi pour Pickie, une perruche véritablement très bavarde. Hola, Hello, agua, no puedo agora, corre, imitation des bisous et de la chouette,... Carine persiste à leur apprendre des mots français, enfin, à essayer, mais cela ne donne pas grand chose... Un jour peut-être ! Courte démonstration de Pickie dans la vidéo. Merci Maël. | |
| Voici le trompette, un oiseau des plus... amusants dirons-nous. Il a un cri hallucinant, une démarche gauche et un sacré caractère. Et il adore notre bungalow. |
Parfois, il faut mouiller la chemise pour entretenir son habitation. Heureusement, Antoine a refait nos escaliers effondrés (merci!), et Virginie a réparé le système de fermeture par contre-poids de notre porte. Mieux vaut qu'elle ferme. | |
| Autour de la Réserve, on peut trouver des arbres gigantesques. La preuve. Sébastien n'est pas si petit qu'il en a l'air à côté de ce mastodonte ! |
La nuit venue, les bruits changent. La chouette vient nous tenir compagnie, pousser des cris qui ressemblent à des aboiements et attaquer les garçons. Elle s'occupe. | |
| Le soir, nous avons aussi le droit de nous détendre ! Ce n'est pas réservé aux chouettes. Chasse aux caïmans, déguisements, guitare, camps de fortune pour se rassembler autour du feu, squat des bungalows, ... On ne pourra pas vous citer tout les monde, mais nous passons des bons moments avec des personnes toutes différentes venues d'horizons variés. Les gars, envoyez-nous vos photos :-) | |
En résumé, être ici, ça change la vie. Il faut vivre en communauté dans un espace réduit, à environ 40 personnes staff inclus. Travailler ensemble, partager, s'amuser. Le travail est physique. Pas d'internet, pas de téléphone, rien. De l'électricité entre 17h et 21h quand cela fonctionne. L'eau de la rivière terreuse pour se laver, quand on arrive à la pomper. L'eau de la rivière pour boire. Un tas d'insectes. Bizarrement, nous nous sommes habituées tout de suite. Quel plaisir d'être entourées par tous ces animaux exceptionnels et de vivre une expérience inoubliable !
A très vite
Carine & Virginie
Présentation de notre nouvel environnement :-)
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Notre mission éco-volontaire
19 janvier 2011
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21:01
Dans quelques mois, nous serons en pleine jungle pour réaliser notre mission éco-volontaire (voir Descriptif du projet).
Un reportage sur la Réserve où nous allons travailler a été diffusé sur France 2 dans l'émission ADN. Private joke: au moment du reportage, une des bénévoles travaillait dans la finance ;-) Dédicace ?
Immersion, immersion !
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Notre mission éco-volontaire